Victoires, conquêtes, désastres, revers et guerres civiles des Français depuis 1792, Volume 3Firmin Didot frères, 1854 |
Expressions et termes fréquents
Allemagne Anglais Argenteau armée armes attaquer Autrichiens avaient avant-garde bataille bataillons batteries Beaulieu Berri bientôt Bonaparte brigade camp campagne cavalerie Championnet Charette chouans Clairfait colonne combat commandait comte d'Artois corps d'infanterie d'Italie Dego demi-brigade devait Directoire division du général ennemis escadrons eût forces garnison général autrichien général Colli général en chef général Hoche général Jourdan général Kléber général Latour général Lefebvre général Masséna général Moreau général Saint-Cyr général Wartensleben Gernsbach gouvernement grenadiers guerre hommes Italie Kuppenheim l'adjudant général l'archiduc l'armée autrichienne l'armée de Sambre-et-Meuse l'armée française l'artillerie l'attaque l'ennemi Lahn Lonato Mannheim manœuvre Mantoue marche Masséna ment mouvement n'avait néral occupait officiers opérations ordres du général passer Pichegru pièces de canon Piémont pont porter position postes pouvait prisonniers Puisaye quartier général républicains république reste retraite retranchements Rhin Rhin-et-Moselle royalistes s'avança s'était secours Sens-Beaujeu seul soldats Stofflet succès tion troupes trouvait vaisseaux Vendée Vendéens victoire village Wartensleben Wurmser
Fréquemment cités
Page 212 - L'armée française passe, pour les poursuivre, sur le territoire de la République de Venise ; mais elle n'oubliera pas qu'une longue amitié unit les deux Républiques. La religion, le gouvernement, les usages, les propriétés seront respectés. Que les peuples soient sans inquiétude, la plus sévère discipline sera maintenue; tout ce qui sera fourni à l'armée sera exactement payé en argent. Le général en chef engage les officiers de la République de Venise, les magistrats et les prêtres...
Page 173 - Dénués de tout, vous avez suppléé à tout. Vous avez gagné des batailles sans canons, passé des rivières sans ponts, fait des marches forcées sans souliers, bivouaqué sans eau-de-vie et souvent sans pain.
Page 36 - Héros de la Vendée 1 illustre défenseur de la foi de tes pères et du trône de tes rois ! salut. «. Que le Dieu des armées veille à jamais sur toi; qu'il guide ton bras à travers les bataillons de tes nombreux ennemis, qui, marqués du doigt de ce Dieu vengeur, tomberont dispersés comme la feuille qu'un vent du nord a frappée.
Page 201 - Piémont, délivré de la tyrannie autrichienne, s'est abandonné à ses sentiments naturels de paix et d'amitié pour la France. Milan est à vous, et le pavillon républicain flotte dans toute la Lombardie. Les ducs de Parme et de Modène ne doivent leur existence politique qu'à votre générosité.
Page 202 - Tant de succès ont porté la joie dans le sein de la patrie; vos représentants ont ordonné une fête dédiée à vos victoires, célébrée dans toutes les communes de la République. Là, vos pères, vos mères, vos épouses, vos sœurs, vos amantes se réjouissent de vos succès et se vantent avec orgueil de vous appartenir. Oui , soldats, vous avez beaucoup fait; mais ne vous reste-t-il donc plus rien à faire?
Page 201 - Soldats ! vous vous êtes précipités comme un torrent du haut de l'Apennin ; vous avez culbuté, dispersé, tout ce qui s'opposait à votre marche. Le Piémont, délivré de la tyrannie autrichienne, s'est livré à ses sentiments naturels de paix et d'amitié pour la France.
Page 202 - Nous avons encore des marches forcées à faire, des ennemis à soumettre, des lauriers à cueillir, des injures à venger! •• Que* ceux qui ont aiguisé les poignards de la guerre civile en France, qui ont lâchement assassiné nos ministres, incendié nos vaisseaux à Toulon, tremblent : l'heure de la vengeance a sonné!
Page 174 - ... aux généraux qui ont votre confiance, nous rougirions de commander à une armée sans discipline, sans frein, qui ne connaîtrait de loi que la force; mais, investi de l'autorité nationale...
Page 93 - Le moment est venu de vous montrer. Dieu , le roi , le cri de la conscience , celui de l'honneur et la voix de vos chefs vous appellent au combat. » Plus de paix ni de trêve avec la République ; elle a conspiré la ruine entière du pays que vous habitez.
Page 202 - Eh bien , partons ! nous avons encore des marches forcées à faire, des ennemis à soumettre, des lauriers à cueillir, des injures à venger. Que ceux qui ont aiguisé les poignards de la guerre civile en France. qui oui lâchement assassiné nos ministres, incendié nos vaisseaux à Toulon tremblent ; l'heure de la vengeance a sonné.