affectés à un privilége, 1069. -Mode de l'inscrip tion des priviléges et hypothèques, 2146.- Droits des créanciers inscrits, 2147. Bordereaux à four- nir, 2148. Temps pendant lequel les inscriptions conservent l'hypothèque et le privilége, 2154. A la charge de qui sont les frais d'inscription, 2155. Tribunal devant lequel doivent être intentées les actions auxquelles les inscriptions peuvent donner lieu, 2156. Radiation et réduction des inscriptions, 2157. V. Conservateur des hypothèques. INSOLVABILITÉ. Effets de l'insolvabilité d'un cohéri- tier ou d'un successeur à titre universel, 876 et 885. Il n'y a pas lieu à garantie de l'insolvabilité du débiteur d'une rente, quand cette insolvabilité est survenue depuis le partage consommé, 886.- Insolvabilité des grevés de restitution et des tuteurs, 1070.
INSPECTEURS AUX REVUES. Militaires pour lesquels ces inspecteurs, le quartier-maître ou le capitaine commandant remplissent les fonctions d'officier de l'état civil, 89.
INSTITUTEURS. Délai après lequel ils ne peuvent réclamer le payement de leurs leçons, 2271. INSTITUTION D'HÉRITIER. Titre sous lequel on peut disposer par testament, 967.-V. Héritiers, Succession, Testament.
INSUFFISANCE DE LA LOI. V. Déni de justice. INTERDICTION. Formalités prescrites pour l'interdic tion des majeurs dans un état habituel d'imbécillité, de démence ou de fureur, 489 et suiv. — Nomina- tion d'un conseil, 499. Cas dans lequel peuvent être annullés les actes antérieurs à l'interdiction, 503. Nomination d'un tuteur et d'un subrogé tu- teur à l'interdiction, 505. Administration des revenus de l'interdit, 510. - Formalités pour la main-levée de l'interdiction, 512.-V. Prodigues. INTÉRÊTS. Les actions ou intérêts des compagnies de finance ou de commerce réputés meubles vis-à-vis des associés, 529.' V. Prêt. INVENTAIRE. Celui auquel le tuteur doit faire pro- céder, 451.-Délai accordé pour le faire à compter de l'ouverture de la succession, 795.- V. Bénéfice d'inventaire, Frais.
IRREVOCABILITÉ. V. Révocation.
JEU. La loi n'accorde aucune action pour une dette de jeu ou pour le payement d'un pari, 1965. — Excep- tion en faveur des jeux d'adresse et d'exercice, 1966. JOURNÉES. V. Ouvriers.
JOURS. V. Fenêtres, Vues.
JUGE. Il est défendu aux juges de prononcer par voie de disposition générale et réglémentaire, 5.-V. Déni de justice.
JUGES DE PAIX. V. Conseil de famille, Emancipa- tion, Scellé, Tutelle.
LAC. V. Alluvion.
LAIS. V. Domaine public.
LAPINS. Quand ceux des garennes sont-ils réputés immeubles, 524. A qui appartiennent les lapins
qui passent dans une autre garenne, 564. LEGALISATION. Les extraits des registres des actes de l'état civil sont légalisés par un juge, 45. LÉGITIMATION. V. Enfans naturels.
LEGS. Comment doit être acquitté, par l'usufruitier, celui d'une rente viagère ou pension alimentaire 610.-En quoi consiste le legs universel, 1003. Le légataire universel est tenu de demander la dé- livrance des biens, 1004. Cas où il en est saisi de plein droit, 1006. Ses obligations_relativement aux dettes de la succession, 1cc9. Définition du legs à titre universel ou particulier, 1010. - Déli- vrance à demander aux héritiers par le légataire à titre universel, et manière dont il est tenu des dettes, 1011. Droit que donne un legs pur et simple, 1014. Demande en délivrance, ibid. Les dettes de la succession considérées relativement au légataire à titre particulier, 1024. Caducité d'un legs, 1042. Accroissement au profit des légataires dans le cas d'un legs fait à plusieurs conjointement, 1044. LÉSION. Elle ne vicie les conventions que dans certains cas et à l'égard de certaines personnes, 1118. Comment on procède pour juger si elle a eu lieu 800. Quelle lésion peut faire attaquer un partage de biens par l'ascendant à ses descendans, 1079. V. Mineur, Rescision.
LEVÉE DE SCELLE. V. Scellé
LIBÉRALITÉ. Sur quelle portion de biens les disposi- tions par actes entre-vifs ou par testamens peuvent s'étendre, 915. Ce que les héritiers peuvent faire dans le cas d'un usufruit ou d'une rente viagère dont la valeur excéderait la quotité disponible, 917. LICITATION. Devant quel tribunal il y est procédé, 822. - Dans quel cas elle a lieu, 827 et 1686. LIGNE. Ordre de succession suivant les lignes, 733. Ce qu'on appelle ligne directe ou collatérale, Distinction de la première en descendante et ascendante, ibid. - Supputation des degrés en lignes directe et collatérale, 737 et 738.
LIQUIDATION. Un notaire est commis pour celles qui intéressent les absens, 113.
LIVRES. Quelle preuve est tirée de ceux des mar- chands, 1330.
LOCATAIRE. Faculté de sous-louer, 1717.
· Garan tie qui est due pour les défauts de la chose louée, Obligations principales du preneur, 1728. Cas où il a été ou n'a pas été fait d'état des lieux, 1730 et 1731. V. Indemnité
Loi. Quand les lois deviennent exécutoires, 1.-Elles n'ont point d'effet rétroactif, 2. — Etendue de l'empire des lois françaises suivant leur nature, 3. Lois auquelles on ne peut déroger par des con- ventions particulières, 6. V. Déni de justice Juge Promulgation. LOT. Devant quel tribunal doivent être portées les demandes relatives à la garantie des lots entre co- partageans, 822.- Formation de lots quand les prélèvemens sur la masse ont été effectués, 831. Règles à suivre pour leur composition, 832. Tirage au sort, 834.- Garantie des lots, $84. Dans quel cas elle n'a pas lieu, ibid. Obliga- tion proportionnelle des cohéritiers en cas d'éviction, 885. V. Garantie. LOUAGE. Ce contrat est de deux sortes, 1708.-Sub- division du louage de choses et d'ouvrages, 1711.
Tous les biens sont susceptibles de location 1713. Règles sur le louage d'ouvrage et d'in- dustrie, 1779 et suiv. - V. Bail.
LOYER. Ce qu'on entend par cette sorte de louage,
MAJORITÉ. Age auquel elle est fixée, 488.
MAIRES. Leurs fonctions relativement à l'état civil
38; aux publications de mariages, 63;
affiches de ventes des biens des mineurs, 459.
MAISON. V. Meubles, Réparations.
MAISON COMMUNE. On affiche à la porte un extrait
des publications de mariage, 64.
MAISON DE CORRECTION. La femme adutère y est recluse, 298 et 308.
MAISON DE SANTE. Délibération du conseil de famille pour y placer un interdit, 510.
MAISON PATERNELLE. Seul cas où l'enfant puisse la quitter sans le consentement de son père, 374.. MAÎTRES DE PENSION. Prescription pour le prix de la pension de leurs élèv es, 2272.-V. Instituteurs. MANDAT. Sa nature et sa forme, 1984. - Obliga- tions du mandataire, 1991. Celles du mandant 1998. Différentes manières dont le mandat finit, 2003.
MARCHANDS. En quels cas une femme est réputée marchande publique, 220.-V. Livres, Prescrip- tion, Registres.
MARIAGE. Formalités qui doivent précéder sa célé
bration, 63.-Cas où elles doivent être renouvelées,
65. Actes de notoriété pour remplacer celui de
naissance, 70.- Consentement de parens, 73.-
Lieu et jour de la célébration et déclaration des
parties, 74 et 75.- Enonciations à faire dans l'acte
de mariage, 76.. Publication et célébration de
mariage des militaires hors du territoire de la Répu-
blique, 94.- Qualités et conditions requises pour
contracter mariage, 144. Formalités relatives
aux enfans naturels, 159. Degrés de parenté qui
entraînent la prohibition du mariage, 161. - Forma-
lités relatives à la célébration du mariage, 165.
Oppositions, 172.-Demandes en nullité de mariage,
180.- Obligations qui naissent du mariage, 203.
Droits et devoirs respectifs des époux, 212.-Com-
ment le mariage se dissout, 227. Délai après
lequel la femme peut contracter un second mariage,
228.-V. Absence, Célébration, Contrat de mariage,
Donation, Militaires, Opposition, Publication.
MASSE. V. Partage, Rapport, Succession. MATÉRIAUX. Avant d'être employés ils sont meubles, 532.
MATERNITÉ. La recherche de la maternité est admise, 341.
MATIÈRES. Principes sur le droit d'accession relative- ment à la nature, à la propriété et au mode d'emploi des matières, 565.
MAUVAIS TRAITEMENT. V. Sévices.
MÉDECINS. Prescription de leur action, et de celles des chirurgiens et apothicaires, pour leurs visites, opérations et médicamens, 2272.-V. Officiers de santé.
MER. Droits sur les effets jetés à la mer ou rejetés par elle, 717.
MEUBLES. Deux modes qui constituent les biens meu- bles, 527. Objets que ne comprend pas le mot meubles employé seul, 533. - Ce qu'on entend par meubles meublans, 534. Acception des termes biens meubles, mobilier, effets mobiliers, 535. - Ce que comprend la vente ou le don d'une maison meu- blée ou avec tout ce qui s'y trouve, 536., MILITAIRES. Formalités pour les actes de l'état civil dans les corps de troupes hors le territoire français, 88.-V. État civil, Hôpitaux.
MINISTERE PUBLIC. V. Commissaire du Gouvernement. MINORITÉ. Jusqu'à quel âge elle dure, 388. - Dans quels cas le mineur est ou n'est pas restituable pour cause de lésion, 1306. — V. Emancipation, MINUTES. Il doit, sous peine de nullité, minute des actes portant donationentr-vifs, 931. MITOYENNETÉ. Dans quel cas un mur est présumé mitoyen, 653. Quelle est la marque de la non mitoyenneté, 654. A la charge de qui sont la réparation et la reconstruction d'un mur mitoyen, 655.. Constructions permises contre un pareil mur, 657. - Son exhaussement, 658. Comment un propriétaire joignant un mur peut le rendre mitoyen, 660.-V. Arbres, Fossés, Haies, Vues. MOBILIER. Ce qu'on entend par cette expression, 535. Formalités à observer par l'héritier bénéfi ciaire pour la vente des meubles d'une succession, 803. V. Estimation, Rapport.
MOURS. On ne peut déroger aux bonnes mœurs par des conventions contraires aux lois qui les intéres-
« PrécédentContinuer » |