Histoire d'Italie: depuis la chute de la République romaine jusqu'aux premières années du dix-neuvième siècle, Volume 8

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J. E. G. Dufour, 1803 - 411 pages
 

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Fréquemment cités

Page 159 - Majestés, les moyens les plus efficaces relativement à leurs forces, pour mettre le roi de France en état d'affermir, dans la plus parfaite liberté, les bases d'un gouvernement monarchique, également convenable aux droits des souverains et au bien-être de la nation française.
Page 267 - Vos victoires, votre courage , vos succès , le sang de nos frères morts aux combats, tout serait perdu, même l'honneur et la gloire. Quant à moi et aux généraux qui ont votre confiance, nous rougirions de commander à une armée sans discipline, sans frein , qui ne connaîtrait de loi que la force. Mais, investi de l'autorité nationale, fort...
Page 183 - La convention nationale déclare Louis Capet, dernier roi des Français, coupable de conspiration contre la liberté de la nation, et d'attentat contre la sûreté générale de l'État.
Page 159 - Majestés, l'empereur et le roi de Prusse, sont résolues d'agir promptement d'un mutuel accord, avec les forces nécessaires pour obtenir le but proposé et commun. En attendant elles donneront à leurs troupes les ordres convenables pour qu'elles soient à portée de se mettre en activité.
Page 181 - Constitution. . 361 ont voté pour la mort ; 26 pour la mort en demandant une discussion sur le point de savoir s'il conviendrait à l'intérêt public qu'elle fût ou non différée , et eu déclarant leur vœu indépendant de cette demande. Ainsi , pour la mort sans condition 387. Pour la détention } etc.
Page 265 - Vous avez fait quinze mille prisonniers, tué ou blessé plus de dix mille hommes. « Vous vous étiez jusqu'ici battus pour des rochers stériles, illustrés par votre courage, mais inutiles à la patrie. Vous égalez aujourd'hui par vos services l'armée conquérante de la Hollande et du Rhin.
Page 267 - Sans cela, vous ne seriez pas les libérateurs des peuples, vous en seriez les fléaux ; vous ne seriez pas l'honneur du peuple français , il vous désavouerait. Vos victoires, votre courage , vos succès , le sang de nos frères morts aux combats, tout serait perdu, même l'honneur et la gloire.
Page 177 - ... ont dit que la vérité. Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement; mais mon cœur est déchiré de trouver, dans l'acte d'accusation , l'imputation d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple , et surtout que les malheurs du 10 août me soient attribués.
Page 267 - Peuples de l'Italie, l'armée française vient pour rompre vos chaînes ; le peuple français est l'ami de tous les peuples ; venez avec confiance audevant d'elle ; vos propriétés , votre religion et vos usages seront respectés. Nous ferons la guerre en ennemis généreux ; et nous n'en voulons qu'aux tyrans qui vous asservissent.
Page 185 - Je recommande à la bienfaisance de la nation toutes les personnes qui m'étaient attachées : il y en a beaucoup qui avaient mis toute leur fortune dans leurs charges, et qui, n'ayant plus...

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