 | Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1788 - 604 pages
...chaque nation ne doivent être que les cas par» ticuliers où s'applique cette raison humaine. Elles doivent être tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites, que c'est un grand hasard si celles d'une nation peuvent convenir à une autre. Il faut qu'elles se rapportent à... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1788 - 594 pages
...chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine. Elles doivent être tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites, que c'est un grand hasard si celles d'une nation peuvent convenir à une autre. _ 11 faut qu'elles se rapportent... | |
 | Félix Louis Christophe Ventre de La Touloubre Montjoie (dit Galart de) - 1796 - 248 pages
...étoit l'oracle des hommes de ce parti , tandis que ce même Montesquieu a écrit ( i ) que « les loix doivent être tellement propres au » peuple pour lequel elles sont faites , que c'est »un hasard si celles d'une nation peuvent conve5>nir à une autre nation ». Les impartiaux vouloient une... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1803 - 416 pages
...chaque nation ue doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine. Elles doivent être tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites , que c'est un grand hasard si celles d'uue nation peuvent convenir à uue autre. Il faut qu'elles se rapportent à... | |
 | Théodore Vernier comte de Montorient - 1810 - 392 pages
...été obligé d'établir des lois qui conviennent à chacune d'elles, et qui, comme ledit Montesquieu, doivent être tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites , que ce seroit un trèsgrand hasard si celles d'une nation pouvoient convenir àune autre. Les conditions... | |
 | Charles-Louis de Secondat baron de Montesquieu - 1816 - 290 pages
...chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine. Elles doivent être tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites, que c'est un grand hasard si celles d'une nation penvent couvenir à une autre. Il faut qu'elles se rapportent à... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1820 - 584 pages
...chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine. Elles doivent être tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites , que c'est un très-grand hasard si celles d'une nation peuvent convenir à une autre. Il faut qu'elles se rapportent... | |
 | 1820 - 678 pages
...d'autres rapports de famille , de commerce , de professions. « Les lois , dit avec raison Montesquieu , doivent être tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites , que c'est un grand hasard si celles d'une nation peuvent convenir à une autre (i). » 3°. Pendant des siècles... | |
 | 1820 - 680 pages
...d'autres rapports de famille , de commerce , de professions. « Les lois , dit avec raison Montesquieu , doivent être tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites , que c'est un grand hasard si celles d'une nation peuvent convenir à une autre (i). » 3°. Pendant des siècles... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1822 - 538 pages
...chaque nnlion ne Joiveut çbfc que. les cas particuliers où s'applique cette raison humaine. Elles doivent être tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites , que c'est un très-grand hasard si celles d'une nation peuvent convenir à une autre* II faut qu'elles se rapportent... | |
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La loi, en général, est la raison humaine, en tant qu'elle gouverne tous les peuples de la terre; et les lois politiques et civiles de chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine. Elles doivent être tellement... 
