Les Femmes Célèbres De L'Ancienne France, Volume 1

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Leroi, 1848
 

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Fréquemment cités

Page 498 - à nous tost , car, se vous ne vous rendez avant qu'il soit la « nuit, nous y entrerons par force : veuillez ou non, et tous « serez mis à mort sans merci. Voire (vraiment), dit un , pail...
Page 394 - ... lieu de bourlées, deux grandes oreilles si larges que quand elles vouloient passer l'huis d'une chambre il falloit qu'elles se tournassent de costé et baissassent...
Page 125 - Ainsi périt cette jeune femme qu'une sorte de révélation intérieure semblait avertir d'avance du sort qui lui était réservé, figure mélancolique et douce qui traversa la barbarie mérovingienne, comme une apparition d'un autre siècle. Malgré...
Page 256 - Castille , qui lui fit abandonner la cause des vassaux rebelles, « il se partit tout pensif et lui venoit souvent en remembrance le doux regard de la reine et sa belle contenance. Lors si entroit en son cœur la douceur amoureuse : mais quand il...
Page 209 - Des bâtiments d'exploitation agricole , des haras , des étables , des bergeries et des granges, les masures des cultivateurs et les cabanes des serfs du domaine, complétaient le village royal, qui ressemblait parfaitement, quoique sur une plus grande échelle, aux villages de l'ancienne Germanie. Dans le site même de ces résidences, il y avait quelque chose qui rappelait le souvenir des paysages d'outre-Rhin; la plupart d'entre elles se trouvaient sur la lisière, et quelques-unes au centre...
Page 208 - Gaule. L'habitation royale n'avait rien de l'aspect militaire des châteaux du moyen âge, c'était un vaste bâtiment, entouré de portiques d'architecture romaine, quelquefois construit en bois poli avec soin , et orné de sculptures qui ne manquaient pas d'élégance...
Page 188 - Qui me reprist, elle et ses fiex li rois ; Encoir ne soit ma parole françoise, Si la puet-on bien entendre en françois. Ne cil ne sont bien appris ne cortois Qui m'ont repris, se j'ai dit mot d'Artois, Car je ne fus pas norriz à Pontoise.
Page 125 - De semblables récits peuvent nous faire sourire, nous qui les lisons dans de vieux livres, écrits pour des hommes d'un autre âge ; mais, au sixième siècle, quand ces légendes passaient de bouche en bouche, comme l'expression vivante et poétique des sentiments et de la foi populaires, on devenait pensif, et l'on pleurait en les entendant raconter.
Page 413 - La Bibliothèque de Charles d'Orléans à son château de Blois en 1427, publiée pour la première fois d'après l'inventaire original, par Le Roux de Lincy.
Page 622 - Pucelle d'Orléans , tirée de ses propres déclarations , de cent quarantequatre dépositions de témoins oculaires, et des manuscrits de la bibliothèque du roi et de la Tour de Londres, par M.

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