Histoire de France, Volume 2L. Hachette et cie, 1874 |
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
Anglais août armée Autrichiens avaient bataille Blücher Bonaparte Bourbon C'était canon cardinal cart cartonné catholiques Charles château chef civile clergé Colbert commença comte Condé conseil constitution coup cour déclara défense députés donner duc de Guise édition ennemis Espagnols États finances flotte forces française François Ier garde général gouvernement guerre Guise Henri Henri III Henri IV Histoire Hollande hommes huguenots jour l'Angleterre l'armée l'Assemblée l'Autriche l'Empereur l'Empire l'ennemi l'Espagne l'État l'Europe laissa lettres liberté Ligue livres Louis XIV main maison maréchal Marie de Médicis mars Mayenne Mazarin mée menacé ment militaire millions ministre mort n'avait n'était Napoléon nationale noblesse paix parlement passer pays Pays-Bas petit in-16 peuple politique porte premier prince protestants provinces Prusse Prussiens réformes reine rent reste Révolution Rhin Richelieu royale royaume Russes s'était Saint-Simon seul siècle soldats sorte tiers état tion traité troupes trouva Turenne vaisseaux Vauban Versailles victoire Voltaire voulait
Fréquemment cités
Page 261 - Fendent les flots tremblants sous un si noble poids. Louis, les animant du feu de son courage, Se plaint de sa grandeur qui l'attache au rivage.
Page 531 - Votre patience, votre courage vous honorent, mais ne vous procurent ni avantage ni gloire. Je vais vous conduire dans les plus fertiles plaines du monde; vous y trouverez de grandes villes, de riches provinces; vous y trouverez honneur, gloire et richesses. Soldats d'Italie, manqueriez-vous de courage?
Page 313 - O nuit désastreuse ! ô nuit effroyable où retentit tout à coup, comme un éclat de tonnerre, cette étonnante nouvelle : MADAME se meurt ! MADAME est morte ! Qui de nous ne se sentit frappé à ce coup, comme si quelque tragique accident avait désolé sa famille?
Page 559 - Majesté. La guerre qui, depuis huit ans, ravage les quatre parties du monde doit-elle être éternelle ? N'est-il donc aucun moyen de s'entendre ? Comment les deux nations les plus éclairées de l'Europe, puissantes et fortes plus que ne l'exigent leur sûreté et leur indépendance, peuventelles sacrifier à des idées de vaine grandeur le bien du commerce, la prospérité antérieure, le bonheur des familles ? Comment ne sentent-elles pas que la paix est le premier des besoins comme la première...
Page 654 - Soldats! venez vous ranger sous les drapeaux de votre chef. Son existence ne se compose que de la vôtre ; ses droits ne sont que ceux du peuple et les vôtres ; son intérêt , son honneur, sa gloire , ne sont autres que votre intérêt , votre honneur et votre gloire.
Page 471 - Nous avons entendu, monsieur, les intentions qu'on a suggérées au roi ; mais vous qui ne sauriez être son organe auprès de l'assemblée nationale, vous qui n'avez ici ni place ni voix, ni droit de parler, vous n'êtes pas fait pour nous rappeler son discours Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple, et qu'on ne nous en arrachera que par la puissance des baïonnettes...
Page 484 - L'Assemblée nationale décrète : 1) Que tous les biens ecclésiastiques sont à la disposition de la nation, à la charge de pourvoir, d'une manière convenable, aux frais du culte, à l'entretien de ses ministres, et au soulagement des pauvres...
Page 416 - certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine; et en effet ils sont des hommes.
Page 476 - ... vin, ont prédit, dans leurs chants impies, l'asservissement de la France, et que leurs vœux brutaux invoquaient la destruction de l'Assemblée nationale ; dites-lui que dans son palais même, les courtisans ont mêlé leurs danses au son de cette musique barbare, et que telle fut l'avant-scène de la Saint-Barthélemy.
Page 471 - Là, entre des murs sombres et nus, sans appareil, sans siège, les députés font le serment solennel de ne point se séparer avant d'avoir donné une constitution à la France (20 juin).