L'Ami de la religion et du roi, Volume 19

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Le Clere, 1819

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Fréquemment cités

Page 293 - ... de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse qui lui est confié, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi et de maintenir de tout son pouvoir la constitution décrétée par l'assemblée nationale et acceptée par le roi.
Page 139 - Rendez donc à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu.
Page 322 - Toute allégation ou imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation.
Page 269 - Mollien a fait un rapport à la chambre, au nom d'une commission, sur l'ouverture dans chaque département d'un livre auxiliaire du grand-livre de la dette publique; il a conclu à l'adoption du projet.
Page 151 - La question de la tolérance a presque toujours été présentée à l'aide d'un jeu de mots. On a réclamé la liberté de penser, ce qui est un peu plus absurde que si l'on eût réclamé la liberté de la circulation du sang. En effet, le tyran le plus capricieux comme le monarque le plus absolu ne peuvent pas plus porter atteinte à l'une qu'à l'autre de ces libertés; et Dieu lui-même, qui laisse les hommes penser de lui ce qui leur plaît, ne pourrait gêner la liberté de penser sans dénaturer...
Page 82 - C'est une occasion à ne pas perdre que de voir mourir un homme avec une paix et une tranquillité toute chrétienne, un détachement , une charité, un désir d'être dans le ciel, pour n'être plus séparé de Dieu, un saint tremblement de ses jugements; mais une confiance toute fondée sur les mérites infinis de Jésus-Christ; tout cela est divin.
Page 83 - Cette personne si tendre et si faible pour tout ce qu'elle aimait n'a trouvé que du courage et de la religion quand elle a cru ne devoir songer qu'à elle...
Page 369 - Nul ne sera admis à prouver la vérité des faits diffamatoires, si ce n'est dans le cas d'imputation contre des dépositaires ou agents de l'autorité, ou contre toutes personnes ayant agi dans un caractère public, de faits relatifs à leurs fonctions.
Page 151 - Mais ce que les sophistes appelaient la liberté de penser était la liberté de penser tout haut; c'est-à-dire, de publier ses pensées ! par les discours ou par l'impression, et par conséquent, de * combattre les pensées des autres. Or, parler ou écrire sont des actions, et même les plus importantes de toutes, chez une nation civilisée.

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