Die philosophischen Schriften von Gottfried Wilhelm Leibniz, Volume 7

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Fréquemment cités

Page 382 - Il est vray que les touts la perdent par rapport à leur mouvement total; mais les parties la reçoivent, étant agitées intérieurement par la force du concours ou du choc.
Page 343 - Mais si l'espace n'est autre chose que cet ordre ou rapport, et n'est rien du tout sans les corps, que la possibilité d'en mettre; ces deux états, l'un tel qu'il est, l'autre supposé à rebours, ne différeraient point entre eux.
Page 380 - De dire que Dieu discerne les choses qui se passent, parce qu'il est présent aux substances, et non pas par la dépendance que la continuation de leur existence a de lui, et qu'on peut dire envelopper une production continuelle : c'est dire des choses non intelligibles.
Page 343 - La raison pourquoi Dieu s'aperçoit de tout n'est pas sa simple présence, mais encore son opération ; c'est parce qu'il conserve les choses par une action qui produit continuellement ce qu'il ya de bonté et de perfection en elles.
Page 343 - Lord if haply they might feel after him and find him, though he is not far from every one of us, for in him we live and move and have our being; as certain also of your own poets have said, 'For we are also his offspring.
Page 343 - The soul, without being present to the images of the things perceived, could not possibly perceive them. A living substance can only there perceive, where it is present, either to the things themselves (as the omnipresent God is to the whole universe) or to the images of things, as the soul is in its proper sensorium.
Page 343 - Nor is there any difficulty in what is here alleged about space having parts. For infinite space is one, absolutely and essentially indivisible: and to suppose it parted, is a contradiction in terms; because there must be space in the partition itself; which is to suppose it parted, and yet not parted at the same time.
Page 345 - Dire que l'espace infini est sans parties , c'est dire que les espaces finis ne le composent point , et que l'espace infini pourrait subsister quand tous les espaces finis seraient réduits à rien. Ce...
Page 386 - Tout ce qui se fait dans le corps de l'homme, et de tout animal, est aussi mécanique que ce qui se fait dans une montre. La différence est seulement telle qu'elle doit être entre une machine d'une invention divine, et entre la production d'un ouvrier aussi borné que l'homme. Sur le § 44.
Page 403 - I affirmed that, with regard to God, no one possible thing is more miraculous than another, and that therefore a miracle does not consist in any difficulty in the nature of the thing to be done, but merely in the unusualness of God's doing it.

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