 | Gottfried Wilhelm Freiherr von Leibniz - 1839 - 390 pages
...savoit pas. J'ai parlé de ma Spécieuse Générale à Mr. le Marquis Del'Hospital, et à d'antres; mais ils n'y ont point donné plus d'attention que si je leur avois conté un songe. Il faudroit que je l'appuyasse par quelque usage palpable ; mais pour cet effet il faudroit fabriquer... | |
 | František B. KVĚT - 1857 - 104 pages
...Ibid. p. 163. a. 3. „.J'ai parlé de ma spécieuse générale ä Mr. le Marquis de 1' Hôpital, et ä d'autres; mais ils n'y ont point donné plus d'attention que si je leur avais conte un songe." H. Lett. ä Mr. R. de Montm, p. 703. a. §. 4. 1. „Tres tamen viros maxime... | |
 | Max Müller - 1867 - 446 pages
...donner des échantillons considérables de son usage... J'ai parlé de ma Spécieuse générale à M. le marquis De l'Hospital, et à d'autres; mais ils...n'y ont point donné plus d'attention que si je leur avais conté un songe. Il faudrait que je l'appuyasse par quelque usage palpable, mais pour cet effet... | |
 | Friedrich Max Müller - 1867 - 456 pages
...considérables de son usage... J'ai parlé de ma Spécieuse générale à M. le marquis De l'Hospitdl, et à d'autres; mais ils n'y ont point donné plus d'attention que si je leur avais conté un songe. Il faudrait que je l'appuyasse par quelque usage palpable, mais pour cet effet... | |
 | 1899 - 372 pages
...distrait, ou si j'étois plus jeune, on assisté par des jeunes gents bien disposés, j'espérerais donner une manière de » cette spécieuse (pag. 701)....spécieuse générale à Mr. le Marquis de l'Hospital, et a d'autres; mais ils n'y ont point donné plus d'attention que si je leur avois conté un songe. Il... | |
 | Giuseppe Peano - 1899
...distrait, ou si j'étois plus jeune, ou assisté par des jeunes gents bien disposés, j'espérerois donner une manière de » cette spécieuse (pag. 701)....(pag. 703) « J'ai parlé de ma spécieuse générale ,4 Mr. le Marquis de l'Hospital, et à d'autres; mais ils n'y ont point donné plus d'attention que... | |
 | Louis Couturat - 1901 - 632 pages
...342*. Vers la tin de sa vie, malade et fatigué, Leibniz écrivait ces lignes attristées : « J'ay parlé de ma Spécieuse générale à Mr. le Marquis...d'attention que si je leur avois conté un songe. Il faudrait que je1 l'appuyasse par quelque usage palpable, mais pour cet ellVct il faudrait fabriquer... | |
 | Alessandro Padoa - 1912 - 117 pages
...pas épargnée la douleur de la raillerie. Il écrivait dans sa veillesse : « J'en ai parlé à M. le marquis de l'Hospital et à d'autres, mais ils...n'y ont point donné plus d'attention que si je leur avais conté un songe. Il faudrait que je l'appuyasse par quelque usage palpable, mais pour cet effet... | |
 | Alessandro Padoa - 1912 - 106 pages
...pas épargnée la douleur de la raillerie. Il écrivait dans sa veillesse : « J'en ai parlé à M. le marquis de l'Hospital et à d'autres, mais ils n'y ont point donné plus d'allention que si je leur avais conté un songe. Il faudrait que je l'appuyasse par quelque usage... | |
 | Martine de Gaudemar - 1995 - 252 pages
...et à la lettre à Rémond de mars 1714, qu'il cite: «J'ai parlé de ma spécieuse générale à M. le marquis de l'Hospital, et à d'autres; mais ils...n'y ont point donné plus d'attention que si je leur avais conté un songe. Il faudrait que je l'appuyasse par quelque usage palpable; mais pour cet effet... | |
| |