Mathesis: recueil mathématique, Volume 40Paul Mansion, Joseph Neuberg J. Duculot, 1926 |
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Mathesis: recueil mathématique, Volume 26 Paul Mansion,Joseph Neuberg Affichage du livre entier - 1906 |
Mathesis: recueil mathématique, Volumes 1 à 2 Paul Mansion,Joseph Neuberg Affichage du livre entier - 1881 |
Expressions et termes fréquents
ABCD ALBERT GIRARD angles aßy asymptotes axes coordonnés B₁ barycentriques bissectrices calcul carré centre de gravité centre du cercle cercle 0 cercle ABC cercle circonscrit cercle inscrit circonférence circonscrite conique conjugué isogonal conjugués côtés BC côtés du triangle coupent courbe courbure cubique déduit démontrer diamètre distance égal équations faisceau formules Géométrie Géométrie analytique Géométrie vectorielle GIRARD HERBIET HUISSER hyperbole hypocycloïde involution l'angle l'axe l'équation l'hyperbole l'infini l'intersection l'orthocentre l'orthopôle LEEMANS M. R. GODEAU M. R. GOORMAGHTIGH mathématiques Mathesis NEUBERG nombre entier orthologiques P₁ parabole parallèles paramètre passe plan podaire polaire ponctuelles projections orthogonales propriété quadrilatère quadrique QUESTIONS PROPOSÉES rapport rayon relation résulte RSITY segments SEVRIN SIMSON SITY Soient sommets sphère STEVIN symétrique synormales tangente tangentielle tétraèdre THÉBAULT théorème théorie triangle ABC UNIV valeur vecteurs
Fréquemment cités
Page 450 - TOME II. — Les applications de la Théorie des Probabilités aux sciences mathématiques et aux sciences physiques. 1 . Applications à l'Arithmétique et à la Théorie des fonctions, par Emile BOREL, rédigé par P. DUBREIL; 1926 300 fr. 2. Probabilités géométriques, par Robert DELTHEIL; 1926 300 fr.
Page 337 - ... rectiligne et sphérique, fort court, mais peu banal. En 1629, la dernière partie de son Invention nouvelle en l'Algèbre traite « De la nature de la superficie des triangles et polygones sphériques nouvellement inventée par ALBERT GIRARD ». GIRARD ne fait guère d'allusion aux surfaces sphériques, dans sa trigonométrie de 1626, et l'importante question de leur mesure demande une étude séparée. Je n'y toucherai pas aujourd'hui, et m'en tiendrai au Précis de trigonométrie du Samielois....
Page 243 - Sur les projections et contre-projections d'un triangle fixe, et sur le système de trois figures directement semblables.
Page 453 - ... en deux parties, le rectangle compris sous la droite totale et sous l'un et l'autre segment est égal au carré de la droite entière. Soit la droite a = h -f- c; ce théorème revient à démontrer l'égalité a (b -+- c) — a'.
Page 238 - H coupent les côtés BC, ÇA, AB du triangle en des points A', B', C' tels que les droites AA", BB", CC
Page 436 - Fait l'objet d'un petit traité publié en 1699 sous le titre de Nouvelle trigonométrie où l'on trouve le moyen de calculer toutes sortes de triangles rectilignes sans les tables des sinus et aussi par les tables des sinus avec u/ie application de lu trigonométrie à la mesure des lignes droites accessibles et inaccessibles par M.
Page 109 - Donc, il se faut ressouvenir d'abord toujours cela ; » c'est-à-dire, du signe du produit de deux imaginaires conjuguées. « On pourrait dire à quoy sert ces solutions qui sont impossibles ? Je respond, pour trois choses : pour la certitude de la reigle f/enerale ; et qu'il n'ya pas d'autre solution ; et pour son Ktililc.
Page 242 - NEUBERG a publié un nombre considérable de notes et plusieurs mémoires sur des chapitres variés des Mathématiques, mais particulièrement sur la Géométrie du triangle et du tétraèdre, dont il fut, avec LEMOINE et BROCARD, le créateur. On trouvera une liste de ces publications, arrêtée en 1911, dans le Liber Memorialis publié à l'occasion de la manifestation dont NEUBERG fut l'objet lors de sa retraite.
Page 281 - Considérons d'autre part les diverses droites isotropes qui passent par les points de contact des tangentes menées du point M à...
Page 60 - Il est clair que h plupart du temps il la possède. Mais, je dis exprès : la plupart du temps. Car on voudrait cependant parfois l'entendre nous la donner lui-même ; par exemple, quand il énonce ce théorème fondamental : « Toutes les équations d'Algèbre reçoivent autant, de solutions que la dénomination de la plus haute quantité (c'est-à-dire l'exposant de la plus haute puissance de l'inconnue) le démontre ». N'importe...