Mémoires sur Napoléon et Marie-Louise, 1810-1814Calmann Lévy, 1886 - 360 pages |
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... devait la mort de son fils à Fouché et à Talleyrand , qu'il ne voulut jamais , sous la Restauration , venir à la cour tant qu'ils y furent . Une fois sur le trône , l'Empereur chercha å se donner un héritier . Il ne pouvait plus en ET ...
... devait la mort de son fils à Fouché et à Talleyrand , qu'il ne voulut jamais , sous la Restauration , venir à la cour tant qu'ils y furent . Une fois sur le trône , l'Empereur chercha å se donner un héritier . Il ne pouvait plus en ET ...
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... devait congédier la sienne . Marie - Louise avait alors dix - huit ans et demi , une taille majestueuse , une démarche noble , beaucoup de fraîcheur et d'éclat , des cheveux blonds qui n'avaient rien de fade , des yeux bleus , mais ...
... devait congédier la sienne . Marie - Louise avait alors dix - huit ans et demi , une taille majestueuse , une démarche noble , beaucoup de fraîcheur et d'éclat , des cheveux blonds qui n'avaient rien de fade , des yeux bleus , mais ...
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... devait éprou- ver Marie - Louise en venant s'asseoir sur un trône où sa grand'tante avait trouvé tant de malheurs . La princesse arriva : son abord n'eut rien de triste ; elle se montra gracieuse envers tout le monde et elle eut le ...
... devait éprou- ver Marie - Louise en venant s'asseoir sur un trône où sa grand'tante avait trouvé tant de malheurs . La princesse arriva : son abord n'eut rien de triste ; elle se montra gracieuse envers tout le monde et elle eut le ...
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... devait la conduire à Munich , le grand maître de sa maison , vieillard de soixante - cinq ans , qui l'avait suivie jusque - là , éleva ses mains jointes vers le ciel , en ayant l'air de l'implorer en faveur de sa jeune maî- tresse , en ...
... devait la conduire à Munich , le grand maître de sa maison , vieillard de soixante - cinq ans , qui l'avait suivie jusque - là , éleva ses mains jointes vers le ciel , en ayant l'air de l'implorer en faveur de sa jeune maî- tresse , en ...
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... devait avoir lieu à Soissons , où un camp avait été formé pour la réception de l'Impératrice . Ne pouvant mo- dérer son impatience , l'Empereur s'y rendit vingt - quatre heures avant l'arrivée de la prin- cesse ; et , dès qu'il apprit ...
... devait avoir lieu à Soissons , où un camp avait été formé pour la réception de l'Impératrice . Ne pouvant mo- dérer son impatience , l'Empereur s'y rendit vingt - quatre heures avant l'arrivée de la prin- cesse ; et , dès qu'il apprit ...
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Mémoires sur Napoléon Et Marie-Louise, 1810-1814 (Classic Reprint) Sophie Cohondet Durand Aucun aperçu disponible - 2018 |
Expressions et termes fréquents
aimait alliés apprit arriva Augereau avaient Bertrand Blois Buonaparte c'était chambellan chambre choses commissaires comte Corps législatif cour d'Écouen d'elle dame d'honneur déjeuner demanda départ devait dîner disait donner Dresde Drouot duc de Bassano duc de Feltre duc de Rovigo duc de Vicence Duroc Écouen élèves envoya faisait famille femme fils Fontainebleau Fouché général gouvernement heures du matin homme Hortense impériale j'ai jamais jeune Joseph Joséphine jour l'armée l'avait l'Em l'Empe l'Empereur Napoléon l'île d'Elbe lorsqu'il Louis XVIII Louise Lucien madame Campan madame de Montebello madame de Montesquiou Madame Mère maison Majesté maréchal mari mariage Marie-Louise ment ministre Murat n'avait n'était Napo Napoléon nation nommé officiers Orléans paix palais passer pendant pereur personnes Porto-Ferrajo pouvait premières dames prince prince de Neufchâtel princesse quitta ratrice reçut reine resta reur Russie s'était Saint-Cloud salon service seul Sire soir souverain suivant tion trône troupes trouva venait vint visiter voiture voulait voulut
Fréquemment cités
Page 332 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 334 - L'empereur remercie l'armée pour l'attachement qu'elle lui témoigne, et principalement parce qu'elle reconnaît que la France est en lui et non pas dans le peuple de la capitale. Le soldat suit la fortune et l'infortune de son général , son honneur et sa religion.
Page 335 - Le sénat se fonde sur les articles de la constitution pour la renverser ; il ne rougit pas de faire des reproches à l'empereur, sans remarquer que, comme le premier corps de l'État, il a pris part à tous les événements.
Page 320 - Les puissances confirment à l'empire français une étendue de territoire que n'a jamais connue la France sous ses rois, parce qu'une nation valeureuse ne déchoit pas pour avoir...
Page 337 - SM l'empereur Napoléon renonce, pour lui et ses successeurs et descendants, ainsi que pour chacun des membres de sa famille, à tout droit de souveraineté et de domination, tant sur l'empire français et le royaume d'Italie que sur tout autre pays.
Page 335 - L'empereur ne peut approuver la condition sous laquelle '.il a fait cette démarche ; il ne peut accepter la vie et la liberté de la merci d'un sujet.
Page 333 - Généraux, officiers, sous-officiers et soldats de ma vieille garde, je vous fais mes adieux : depuis vingt ans je suis content de vous ; je vous ai toujours trouvés sur le chemin de la gloire. « Les puissances alliées ont armé toute l'Europe contre moi ; une partie de l'armée a trahi ses devoirs, et la France elle-même a voulu d'autres destinées.
Page 333 - Soldats de ma Vieille Garde, je vous fais mes adieux. Depuis vingt ans, je vous ai trouvés constamment sur le chemin de l'honneur et de la gloire. Dans ces derniers temps, comme dans ceux de notre prospérité, vous n'avez cessé d'être des modèles de bravoure et de fidélité. Avec des hommes tels que vous, notre cause n'était pas perdue.
Page 336 - ... abus du pouvoir. Si l'Empereur avait méprisé les hommes, comme on le lui a reproché, le monde reconnaîtrait aujourd'hui qu'il a eu des raisons qui motivaient son mépris. Il tenait sa dignité de Dieu et de la nation; eux seuls pouvaient l'en priver; il l'a toujours considérée comme un fardeau, et, lorsqu'il l'accepta, c'était dans la conviction que lui seul était à même de la porter dignement.
Page 333 - Avec vous et les braves qui me sont restés fidèles, j'aurais pu entretenir la guerre civile pendant trois ans; mais la France eût été malheureuse, ce qui était contraire au but que je me suis proposé. " Soyez fidèles au nouveau roi que la France s'est choisi ; n'abandonnez pas notre chère patrie, trop longtemps malheureuse.