Notice sur la Congrégation des Filles du Saint-EspritImprimerie Librairie L & R Prudhomme, 1888 - 180 pages |
Expressions et termes fréquents
âgée avaient bonne Bretagne bretonne Burel et Marie Catherine Briand chapelle CHAPITRE charité cher Chanoine citoyens cœur Communauté de Plérin compagnes comte Congrégation des Filles Congrégation du Saint-Esprit Conseil dame dévouement Dieu diocèse directoire Ecole maternelle écoles établissements évêché Evêque évêque de Saint-Brieuc famille Filles du Saint Filles du Saint-Esprit Finistère fondation des enfants fondation enfants Garaye Grandchamp Jean-Marie de Lamennais Jésus-Christ jours l'abbé Le Mée l'Evêque de Saint-Brieuc l'instruction Lanvellec Légué Leuduger maison-mère Marie Balavenne Marie-Arsène BORNET Marzan Mauricette Majol ment Messire Monseigneur Montclus munauté Nombre de fondation œuvre paroisse de Plérin pauvres malades pieuses pieux Plaintel Plouaret Plouc Ploudaniel Ploumoguer Pordic Pouldavid Quimper Recteur règle religieuses Réminiac Renée Burel Révolution Romagère Saint-Herblon Saint-Malo salle d'asile secours seigneur société Soeur Sœur Félicité Sœur Marie Allenou Sœur Yvonne Clec'h Sœurs blanches Sœurs de Plérin soin soulagement Supérieure Générale Taden tion Tréguier vénérable Ville-Angevin Villéon visite wwwwwm zèle
Fréquemment cités
Page 109 - L'instruction est nulle depuis « dix ans ; il faut prendre la religion pour base de l'éducation. Les « enfants sont livrés à l'oisiveté la plus dangereuse, au vagabondage « le plus alarmant. Ils sont sans idée de la divinité, sans notion du « juste et de l'injuste. De là des mœurs farouches et barbares ; de là « un peuple féroce. Si l'on compare ce qu'est l'instruction avec ce « qu'elle devrait être, on ne peut s'empêcher de gémir sur le sort « qui menace les générations présentes...
Page 110 - Mais, je le dis pour le bien de ma patrie, je le dis pour le bonheur de la génération présente et pour celui des générations à venir, le septicisme outré, l'esprit d'irréligion, transformé en système politique, est plus près de la barbarie qu'on ne pense.
Page 109 - L'instruction est nulle depuis dix ans. Il faut prendre la religion pour base de l'éducation. « Les enfants sont livrés à l'oisiveté la plus dangereuse, au vagabondage le plus alarmant. Ils sont sans idée de la divinité, sans notion du juste et de l'injuste. De là des mœurs farouches et barbares; de là un peuple féroce. « Si l'on compare ce qu'est l'instruction avec ce qu'elle devrait être...
Page 108 - II est temps, disent-ils, que les théories se taisent devant « les faits. Point d'instruction sans éducation, et point « d'éducation sans morale et sans religion. Les professeurs
Page 105 - ... du peuple, tandis que nous avions au contraire, et depuis un siècle, la méthode la plus parfaite, et des moyens meilleurs encore que la méthode, dans la congrégation des Frères des Ecoles chrétiennes. La révolution avait détruit celle-là comme toutes les autres; mais il a suffi à Bonaparte d'en remuer les cendres pour y trouver des étincelles de cet esprit qui l'avait formée, de cet esprit créateur du christianisme, qui donne à tout ce qu'il anime le mouvement et la vie. Bonaparte...
Page 109 - Ils sont sans idée de la divinité, sans notion du juste et de l'injuste. De là des mœurs farouches et barbares; de là un peuple féroce. « Si l'on compare ce qu'est l'instruction avec ce qu'elle devrait être, on ne peut s'empêcher de gémir sur le sort qui menace les générations présentes et futures.
Page 115 - Sire, j'ai présidé, conformément à votre décret, le Chapitre général des Sœurs de la Charité et des autres établissements consacrés au soulagement des pauvres. J'avais auparavant assisté au travail préparatoire et à toutes les conférences particulières qui ont précédé la tenue de ce Chapitre. J'ai été pleinement satisfaite de toutes ces respectables sœurs. Elles m'ont édifiée par leur piété sans exagération et par cette tendresse vraiment maternelle qu'elles portent à...
Page 109 - Ecoutons la voix de tous les citoyens honnêtes qui, dans les assemblées départementales, ont exprimé leur vœu sur ce qui se passe depuis dix ans sous leurs yeux.
Page 115 - N° du 5 déc. 1807.) été pleinement satisfaite de toutes ces respectables sœurs. Elles m'ont édifiée par leur piété sans exagération et par cette tendresse véritablement maternelle qu'elles portent à leurs enfants adoptifs, les pauvres et les malheureux. Je...