Des idées Napoléoniennes

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Paulin, Libraire-éditeur, 1839 - 229 pages

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Fréquemment cités

Page 80 - Les collèges, écoles secondaires communales, pour les élémens des langues anciennes et les premiers principes de l'histoire et des sciences ; 4° Les institutions, écoles tenues par des instituteurs particuliers, où l'enseignement se rapproche de celui des collèges ; 5° Les pensions, pensionnats, appartenant à des maîtres particuliers, et consacrés à des études moins fortes que celles des institutions. 6° Les petites écoles, écoles primaires, où l'on apprend à lire, à écrire,...
Page 143 - N'est-il donc aucun moyen de s'entendre? Comment les deux nations les plus éclairées de l'Europe , puissantes et fortes plus que ne l'exigent leur sûreté et leur indépendance , peuvent-elles sacrifier à des idées de vaine grandeur le bien du commerce , la prospérité intérieure, le bonheur des familles? Comment ne sentent-elles pas que la paix est le premier des besoins comme la première des gloires ? Ces...
Page 135 - Vous avez bien raison de rappeler les paroles de Montesquieu ; < Le véritable auteur de la guerre n'est pas celui qui la déclare, mais celui qui la rend nécessaire.
Page 143 - La guerre qui depuis huit ans ravage les quatre parties du monde doit-elle être éternelle? N'est-il donc aucun moyen de s'entendre?
Page 158 - Je ne veux point régner sur vos provinces , mais je veux acquérir des titres éternels à l'amour et à la reconnaissance de votre postérité. « Votre monarchie est vieille : ma mission est de la rajeunir.
Page 80 - Les écoles appartenant à chaque académie seront placées dans l'ordre suivant : 1° les facultés, pour les sciences approfondies, et la collation des grades; 2° les lycées pour les langues anciennes, l'histoire, la rhétorique, la logique et les éléments des sciences mathématiques et physiques ; 3°...
Page 2 - He adopts, as his text, the celebrated pensée of Pascal : " Le genre humain est un homme qui ne meurt jamais, et qui se perfectionne toujours...
Page 144 - Je n'attache point de déshonneur à faire le premier pas : j'ai assez, je pense, prouvé au monde que je ne redoute aucune des chances de la guerre; elle ne m'offre d'ailleurs rien que je doive redouter. La paix est le vœu de mon cœur; mais la guerre n'a jamais été contraire à ma gloire.
Page 98 - Je veux constituer en France l'ordre civil; il n'ya eu jusqu'à présent dans le monde que deux pouvoirs , le militaire et l'ecclésiastique : les barbares qui ont envahi l'empire romain n'ont pu former d'établissement solide, parce qu'ils manquaient à la fois d'un corps de prêtres et d'un ordre civil; les Romains n'avaient que l'ordre militaire.
Page 164 - La sainte alliance est une idée qu'on m'a volée, » c'est-à-dire, la sainte alliance des peuples par les rois et non celle des rois contre les peuples : là est l'immense différence entre son idée et la manière dont on l'a réalisée.

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