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JOURNAL

DE JURISPRUDENCE.

A

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DÉCISIONS DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE MARSEILLE

ET DE LA COUR ROYALE D'AIX.

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DE

JURISPRUDENCE COMMERCIALE

ET MARITIME.

PREMIÈRE PARTIE.

DÉCISIONS DIVERSES, LOIS, ORDONNANCES, ARRÊTÉS ET RÉGLEMENS ADMINISTRATIFS, EN MATIÈRE DE

COMMERCE DE TERRE ET DE MER.

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L'action à raison du dommage causé en rade par l'abordage d'un navire sur une madrague, est-elle suffisamment conservée par la nomination judiciaire, dans les vingt-quatre heures de l'évènement, d'un expert pour constater le dommage, et d'un curateur pour représenter à l'expertise le capitaine responsable, alors absent du lieu où l'action est poursuivie? ( Rés. aff.) Dans de telles circonstances, la fin de non-recevoir résultant des art. 435, § 3 et 436 du code de commerce, pour défaut de protestations faites et signifiées dans le délai prescrit, est-elle inapplicable? (Rés. aff. )

Lorsqu'un navire, en louvoyant dans une rade pour résister

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au vent contraire qui l'empêche de suivre sa route aborde une madrague signalée conformément aux règlemens et lui cause du dommage, cet évènement doit-il être considéré non comme un cas fortuit mais

T. XX.

Ire P.

I

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