Causes criminelles célèbres du XIXe siècle: Procès des assassins de Fualdés. Procès de Papavoine. Procès de Lelièvre, dit Chavallier. Procès de Dautun et GirouardH. Langlois, 1827 |
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... Marguerite Pizard , sa se- conde femme . Les déclarations de l'accusé à cet égard n'offrent rien d'important . Nous passons aux questions concernant l'empoisonnement de Marie Riquet . L'accusé dit que cette troisième femme est morte ...
... Marguerite Pizard , sa se- conde femme . Les déclarations de l'accusé à cet égard n'offrent rien d'important . Nous passons aux questions concernant l'empoisonnement de Marie Riquet . L'accusé dit que cette troisième femme est morte ...
Page 339
... Marguerite Pizard , vous demeurez indifférent à cette grande infortune ; vous re- prenez paisiblement , le lendemain même , le cours de PROCÈS DE LELIEVRE , DIT CHEVALLIER . 339.
... Marguerite Pizard , vous demeurez indifférent à cette grande infortune ; vous re- prenez paisiblement , le lendemain même , le cours de PROCÈS DE LELIEVRE , DIT CHEVALLIER . 339.
Page 346
... Marguerite - Reine Pizard , sa seconde femme . Il me répondit que cet enfant était dans le département de la Loire , et qu'il se portait bien ; je n'ai plus revu cet enfant . Je lui redemandai de ses nouvelles avec violence ; j'allai ...
... Marguerite - Reine Pizard , sa seconde femme . Il me répondit que cet enfant était dans le département de la Loire , et qu'il se portait bien ; je n'ai plus revu cet enfant . Je lui redemandai de ses nouvelles avec violence ; j'allai ...
Page 347
... Pizard a eu lieu ; c'est qu'elle m'introdui- sit elle - même dans la famille Riquet . Elle fut garde- malade de ma seconde femme ; elle fut marraine de mon premier enfant . Lorsque Marguerite Pizard me fut en- levée , madame Pontannier ...
... Pizard a eu lieu ; c'est qu'elle m'introdui- sit elle - même dans la famille Riquet . Elle fut garde- malade de ma seconde femme ; elle fut marraine de mon premier enfant . Lorsque Marguerite Pizard me fut en- levée , madame Pontannier ...
Page 349
... Marguerite Pizard , n'était pas d'un fort tempé rament , quoique sa santé ne fût point dérangée lors de son mariage . Jamais elle ne s'est plainte de son mari , qu'elle aimait tendrement . M. le président . Lorsqu'il est venu chez vous ...
... Marguerite Pizard , n'était pas d'un fort tempé rament , quoique sa santé ne fût point dérangée lors de son mariage . Jamais elle ne s'est plainte de son mari , qu'elle aimait tendrement . M. le président . Lorsqu'il est venu chez vous ...
Expressions et termes fréquents
19 mars 20 mars accusés Albi Anne Benoît assassins Auguste Dautun aurait avaient aveux avez avez-vous Bach Bastide et Jausion Bousquier c'était cadavre cause Charles Dautun Chevallier circonstances Clémandot Colard complice coupable couteau crime cupidité cusé dame débats déclaration demande demoiselle Hérin demoiselle Malservait dénégations déposition devant dire disant dit-il Dubernard enfin entendu famille femme Bancal fille frappé frère Fual Girouard homme huit heures innocence j'ai j'avais j'étais jamais jour justice l'accusé l'assassinat l'avait l'Aveyron l'avocat-général l'échafaud Labiey Lelièvre lendemain Levrat long-temps Lyon madame Manson magistrat maison Bancal malade malheureux Marguerite Pizard Marie Riquet ment Messieurs les jurés Missonnier Monsieur mort motif Mouy n'ai n'avait n'était pables Papavoine parler père personnes Pontannier porte pré préméditation président procès procureur-général qu'un Rép répondit révélations rien Rodat Rodez Romiguières s'il sang sauver Séguret serait seul soir sort soupçons Tajan témoin Théron tion trouva Vaume vérité victime Vincennes vint
Fréquemment cités
Page 270 - Il n'ya ni crime ni délit, lorsque le prévenu était en état de démence au temps de l'action , ou lorsqu'il a été contraint par une force à laquelle il n'a pu résister.
Page 226 - L'infraction que les lois punissent d'une peine afflictive ou infamante est un crime. ARTICLE 2 (L. 28 avril 1832). — Toute tentative de crime qui aura été manifestée par un commencement d'exécution, si elle n'a été suspendue ou si elle n'a manqué son effet que par des circonstances indépendantes de la volonté de son auteur, est considérée comme le crime même.
Page 50 - Ah ! Madame, au nom de ce que vous avez de plus cher au monde, de votre gloire, de votre avenir, faites tout pour sauver votre époux; l'ombre de Marie-Thérèse vous l'ordonne!...
Page 269 - ... les plus barbares que se permettent les gens de service, à moins qu'ils ne soient d'un bon choix et contenus par une discipline sévère. L'homme sage et éclairé ne voit, au contraire, dans ces explosions de la manie qu'une impulsion automatique, ou plutôt l'effet nécessaire .d'une excitation nerveuse contre laquelle on ne doit pas plus s'indigner que contre le choc d'une pierre entraînée par sa gravité spécifique. Il accorde à...
Page 68 - Ceux qui, hors le cas prévu par le § 3 de l'art. 66, auront, avec connaissance, aidé ou assisté l'auteur ou les auteurs du crime ou du délit dans les faits qui l'ont préparé ou facilité, ou dans ceux qui l'ont consommé (art.
Page 183 - ... à un ami qui lui prêtait son crédit. » Si la cupidité avait égaré un homme sobre, aisé, laborieux; si elle avait armé mon bras, aurais-je frappé un vieillard dont la fortune n'offrait rien à la cupidité?
Page 193 - ... d'angoisses pendant le supplice de l'infortuné Fualdès; ses efforts pour échapper à ses bourreaux, ses prières pour les attendrir, ses plaintes, ses gémissemens, son agonie, son dernier soupir,... j'entendis tout. » Son sang coula près de moi : je m'attendais à subir un pareil sort, il m'était réservé; mais le Ciel, qui veillait sur moi, et qui ne permet pas que les grands crimes restent impunis, voulut me conserver pour éclairer celui-ci , et donner une éclatante preuve de sa divine...
Page 183 - Si la cupidité avait égaré un homme sobre, aisé, laborieux; si elle avait armé mon bras, aurais-je frappé un vieillard dont la fortune n'offrait rien à la cupidité? aurais-je réclamé l'appui de tous ces sicaires obscurs, niais, inutiles, dangereux? aurais-je attiré ma victime dans un quartier fréquenté, dans une maison publique, moi que Fualdès invitait à sa table, moi qu'il suivait avec sécurité dans l'épaisseur des bois? « Ces hommes, ces femmes qu'on me donne pour complices,...
Page 113 - Madame Manson. C'est possible , Monsieur. (Tous les regards se tournent vers les bancs des accusés , et se fixent sur Jausion.) Me Dubernard (se levant). Veuillez vous expliquer, Madame ; vos demi - aveux , vos réponses ambiguës sont mille fois plus meurtriers qu'une désignation directe. Madame Manson. Je n'ai rien à dire. Jausion. Madame, ce n'est pas pour moi ; la mort n'a rien qui m'effraie ; mais pour ma malheureuse femme, pour mes enfans, veuillez parler; ma vie est entre vos mains ; il...
Page 180 - Ma défense contre cette femme, témoin, accusée, accusateur, que la prévention tour à tour blâme et caresse, humilie sans pitié ou exalte sans mesure, contre cette femme, qui pour n'être pas dégradée par la justice, força la justice à se dégrader pour elle M. le présid.—Bastide, la défense écrite que vous lisez est-elle votre ouvrage ? Bastide.