... territoires neutres et alors accepter la lutte sur le Rhin comme sur l'Adige. Il fallait partout franchement se fortifier du concours de la révolution. Il fallait répandre encore un sang précieux qui n'avait que trop coulé déjà: en un mot, pour... Le Palais de Saint-Cloud: résidence impériale - Page 56de Philippe de Saint-Albin, Armand Durantin - 1864 - 254 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Luigi Zini - 1869 - 1018 pages
...concours de la révolution. Il fallait répandre un sang précieux qui n'avait que trop coulé déjà ; en un mot, pour triompher, il fallait risquer ce qu'il n'est permis à aucun souverain de mettre en jeu que pour l'indépendance de son pays. » Si je me suis arrêté, ce... | |
| Amédée Gabourd - 1870 - 530 pages
...sangprécieux qui n'avait quetrop coulé déjà ; en un mot, il fallait risquer ce qu'il n'est jamais permis à un souverain de mettre en jeu que pour l'indépendance...me suis arrêté, ce n'est donc pas par lassitude et par épuisement, ni par abandon de la noble cause que je voulais servir, mais parce que dans mon... | |
| Taxile Delord - 1870 - 698 pages
...de la révolution. Il fallait répandre encore un sang précieux qui n'avait que trop coulé déjà; en un mot, pour triompher, il fallait risquer ce qu'il n'est permis à aucun souverain de mettre en jeu que pour l'indépendance de son pays. » Si je me suis arrêté, ce... | |
| 1875 - 676 pages
...comme sur l'Adige, il fallait partout franchement se a fortifier du concours de la révolution; qu'il fallait risquer ce qu'il « n'est permis à un souverain de mettre en jeu que pour l'indépen« danco de son pays. » Cependant, le siége de Sébastopol avait été si fécond en épisodes... | |
| Georges Giacometti - 1893 - 416 pages
...succès, soit à aggraver nos revers... Il fallait accepter la lutte sur le Rhin comme sur l'Adige... il fallait risquer ce qu'il n'est permis à un souverain...mettre en jeu que pour l'indépendance de son pays... Croyez-vous qu'il ne m'en ait pas coûté de retrancher ouvertement devant l'Europe de mon programme... | |
| 1899 - 976 pages
...la révolution. Il fallait répandre encore un sang précieux, qui n'avait que trop coulé déjà ; en un mot, pour triompher, il fallait risquer ce qu'il n'est permis à aucun souverain de mettre en jeu que pour l'indépendance de son pays. — Si je me suis arrêté,... | |
| Emile Ollivier - 1899 - 666 pages
...la révolution. 11 fallait répandre encore un sang précieux qui n'avait que trop coulé déjà ; en un mot, pour triompher, il fallait risquer ce qu'il n'est permis à aucun souverain de mettre enjeu que pour l'indépendance de son pays. — Si je me suis arrêté, ce... | |
| Charles Simond - 1900 - 822 pages
...envoyées pour le féliciter de ses succès, il répondait, assez mélancoliquement, qu'il ya des choses qu'il n'est permis à un souverain de mettre en jeu que pour l'indépendance de son pays, et le 15 août, dans un grand banquet où il avait réuni aux Tuileries trois cents officiers généraux... | |
| Paul Adolphe van Cleemputte, Charles Simond - 1900 - 798 pages
...envoyées pour le féliciter de ses succès, il répondait, assez mélancoliquement, qu'il ya des choses qu'il n'est permis à un souverain de mettre en jeu que pour l'indépendance de son pays, et le 15 août, dans un grand banquet où il avait réuni aux Tuileries trois cents officiers généraux... | |
| Rosario Salvo di Pietraganzili - 1902 - 480 pages
...trop coulé dèjà; en un mot, pour triompher , il fallait risquer ce qu' il n' est permis a aucun souverain de mettre en jeu que pour l'indépendance de son pays; « Si je me suis arre té, ce n'est donc pas par lassitude ou par épuisement , ni par abandon de la noble cause que... | |
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