 | M. Nourrisson - 1860 - 528 pages
...de toutes sortes qu'il fit à la Flèche. « J'y avais appris, écrit-il, tout ce que les autres y apprenaient, et même, ne m'étant pas contenté des...sciences qu'on nous enseignait, j'-avais parcouru divers livres traitant de celles qu'on estime les plus curieuses et les plus rares, qui avaient pu... | |
 | René Descartes - 1863 - 108 pages
...savants hommes, s'il y en avait en aucun endroit de la terre. J'y avais appris tout ce que les aulres y apprenaient ; et même, ne m'étant pas contenté...celles qu'on estime les plus curieuses et les plus r;ires, qui avaient pu tomber entre mes mains n. Avec cela je savais les jugements que les autres faisaient... | |
 | René Descartes - 1864 - 482 pages
...savants hommes, s'il y en avait en aucun endroit de la terre. J'y avais appris tout ce que les autres y apprenaient ; et même , ne m'étant pas contenté...mains. Avec cela je savais les jugements que les autres taisaient de moi, et je ne voyais point qu'on m'estimât inférieur à mes condisciples, bien qu'il... | |
 | René Descartes - 1865 - 466 pages
...autres y apprenoient; et même, ne m'étant pas contenté des sciences qu'on nous enseignoit, j'avois parcouru tous les livres traitant de celles qu'on estime les plus curieuses et les plus rares qui avoient. pu tomber entre mes mains. Avec cela je savois les jugements que les autres faisoient de moi;... | |
 | J. Millet - 1867 - 548 pages
...tres y apprenaient ; et même ne m'étant pas » contenté des sciences qu'on m'enseignait, j'a» vais parcouru tous les livres traitant de celles » qu'on...Avec » cela, je savais les jugements que les autres fai» saient de moi, et je ne voyais point qu'on m'es» timât inférieur à mes condisciples, bien... | |
 | J. Millet - 1867 - 546 pages
...tres y apprenaient ; et même ne m'étant pas » contenté des sciences qu'on m'enseignait, j'a» vais parcouru tous les livres traitant de celles » qu'on...Avec » cela , je savais les jugements que les autres fai» saient de moi, el je ne voyais point qu'on m'es» timàt inférieur à mes condisciples , bien... | |
 | Louis Figuier - 1869 - 650 pages
...avait en aucun r-ndroit de la teirc. J'y avais appris tout ce que les autres y apprenaient; et mi'-me ne m'étant pas contenté des sciences qu'on nous...parcouru tous les livres traitant de celles qu'on estime les'plus curieuses et les plus rares, qui avaient pu tomber entre mes mains. Avec cela, je savais les... | |
 | Émile Mathieu Campagne - 1872 - 1390 pages
...hommes, s'il y *n avait en aucun endroit sur la t« DEN UES J'y avais appris tout ce que les autres y apprenaient, et même, ne m'étant pas contenté des sciences qu'on nous enseignait, j'avais parcouiu tous les livres traitant de celles qu'on estime les plus curieuses et les plus rares, qui... | |
 | Louis Figuier - 1876 - 622 pages
...s'il y en avait en aucun DESCARTES 157 endroit de la terre. J'y avais appris tout ce que les autres y apprenaient; et même ne m'étant pas contenté des...jugements que les autres faisaient de moi, et je ne voyais point qu'on m'estimât inférieuràmes condisciples, bien qu'il y en eût déjà entre eux quelques-uns... | |
 | René Descartes - 1877 - 400 pages
...savants hommes, s'il y en avait en aucun endroit de la terre. J'y avais appris tout ce que les autres y apprenaient, et même, ne m'étant pas contenté des...jugements que les autres faisaient de moi, et je ne voyais point qu'on m'estimât inférieur à mes condisciples, bien qu'il y en eût déjà entre eux quelques-uns... | |
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J'y avais appris tout ce que les autres y apprenaient ; et même , ne m'étant pas contenté des sciences qu'on nous enseignait, j'avais parcouru tous les livres traitant de celles qu'on estime les plus curieuses et les plus rares , qui avaient pu tomber... 
